« On est les premiers d’une longue série. » Ces mots auraient pu être ceux de la Jeune garde. Le groupe antifasciste lyonnais, dont la dissolution a été prononcée jeudi 12 juin, avait tenu des propos similaires, il y a trois semaines. « Si aujourd’hui la Jeune garde tombe, demain, ils s’attaqueront à la CGT », avait prédit Cem Yoldas, son porte-parole, auprès de nos confrères de Rue89Strasbourg.
Pourtant, ces paroles viennent d’un membre d’un autre groupe antifasciste lyonnais : le Gale (Groupement antifasciste Lyon et environ), dissous il y a deux ans. Un drôle d’écho, dans l’histoire de l’antifascisme à Lyon.

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